Avant / après : quand on devient maman

21 mai 2019

A l’occasion de la fête des mères si on faisait un petit tour d’horizon sur tout ce qui a changé dans notre vie depuis que nous sommes devenues maman ? Parce qu’à bien y réfléchir pas mal de choses (et de meubles) ont bougé dans notre vie !

Allez c’est parti !

                                         

Tout ce qui a changé dans mon quotidien depuis que qu'on est devenues maman

On m’appelle maman (50 fois par jour)

C’est bête mais ça change tout ! On a espéré ce « maman » dès les premiers balbutiements de notre petit Koala et finalement un jour il a dit maman. Enfin plutôt Mamaaa mais on l’a pris pour nous ! Et puis, il a affiné la prononciation et aujourd’hui c’est bon, il le maîtrise p.a.r.f.a.i.t.e.m.e.nt. On en soupe à longueur de journée et on respire un peu quand il dit « Papa ! »

On n’a plus l’esprit libre

Ou trèèèèèès rarement. C’est plus fort que nous, d’aucuns appellent cela la charge mentale, mais depuis l’arrivée de notre premier enfant, pas une journée (une heure !) ne se passe sans que l’on pense à quelque chose en rapport avec son enfant. On a constamment le cerveau au bord de l’implosion. Du matin, « ah mince j’ai oublié de signer son carnet, au soir « mais qu’est-ce qu’on va bien pouvoir manger ce soir ! » c’est eux, eux et encore eux.

On tient un hôtel-restaurant-laverie

Avant d’avoir nos petits Koalas, on se contentait d’une soupe en brique avec une tartine de pain sec au beurre un peu rance et on était calée. On allait se coucher à l’heure qu’on voulait après un verre avec les copains ou une soirée devant notre série du moment (oui, on pouvait enchaîner les séries). Maintenant, on rentre du travail et on doit, entre autres milliers de choses à faire, préparer le dîner (selon les goûts des enfants sinon c’est la soupe à la grimace), puis plier les trois tonnes de linge avant d’aller se rouler en boule sous la couette. Désormais l’heure d’aller au lit dépend de la hauteur de la pile de linge et plus du tout de notre envie.

On rit beaucoup plus

Faut bien reconnaître que les pitreries de l'aîné combinées avec les erreurs de prononciation du petit dernier nous font bien rire. Bon, notre entourage rit beaucoup moins des blagues de René, certainement une histoire de sens de l’humour familial.